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L’autonomie

Le sophrologue est en quelque sorte  un « passeur » : il transmet des techniques, accompagne un certain temps pendant leur apprentissage. Les pratiquants disposent ensuite d’une trousse à outils qu’ils peuvent utiliser quand ils en ressentent le besoin, mais ils doivent finalement s’approprier leur pratique et devenir autonomes.

Le sophrologue va bien entendu aider en créant un contexte favorable, en proposant des exercices adaptés, mais également grâce à sa voix qui servira de fil conducteur, qui aidera à la concentration, … Mais il se doit de veiller à ce qu’au fur et à mesure de leur progression, les participants ne deviennent pas dépendants de tout cela. C’est uniquement comme cela que la sophrologie pourra faire partie intégrante de l’hygiène de vie.

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